Texte original. Pour les francophones voir la traduction plus bas.
Panagiótis hat für unsere Gruppe von fünf Personen eine eintägige Führung durch Athen zusammengestellt. Wir konnten aus verschiedenen Themen auswählen und entschieden uns für die Herausforderungen für die Griechische Demokratie früher und heute in der gegenwärtig andauernden Krise, den touristischen Blick auf Athen und wie er sich verändert sowie die Geschichte der herrenlosen Tiere in der Stadt, den “Adespotes”.
Der Spaziergang begann am Syntagma Platz mit einer Einführung zu dessen Rolle in der politischen Geschichte und seinen zeitgenössische Denkmälern der Revolte und Verzweiflung. Weiter ging es zum Zappeion, nach Anafiotika, Monastiri, Psiri, Exarchia, die Polytechnische Schule zur Universität und zurück zum Syntagma.
Panagiótis wusste überall etwas zu erzählen und zu entdecken. An mancher Hausecke zückte er seinen Fotoapparat und fotografierte Graffitis oder Adespoten, die nicht nur ein Markenzeichen seinen Blogs Greek Crisis, sondern auch eine stetige Erinnerung daran sind, dass wir angesichts der gegenwärtigen Herrschaftsverhältnisse ruhig ein bisschen weniger folgsam sein müssten.
Panagiótis hat sich viel Zeit genommen, die Hintergründe der griechischen Krise zu erhellen und ist stets auf unsere Fragen und Wünsche eingegangen. Sehr gerne werden wir in Zukunft mit ihm zusammen einen erneuten und hoffentlich optimistischeren Spaziergang wagen.
Roland Lüthi (Zürich, Suisse)
Traduction de la lettre de Roland Lüthi.
Panagiótis a organisé une visite d’une journée d’Athènes pour notre groupe de cinq personnes. Nous avons pu choisir parmi divers sujets et nous avons opté pour les défis de la démocratie grecque avant, comme durant la crise actuelle, pour la vision touristique d’Athènes et son évolution, ainsi que pour l’histoire des animaux sans maître de la ville, les fameux “Adespotes”.
La promenade a commencé sur la place Sýntagma avec une introduction sur son rôle à travers l’histoire politique du pays, et ses lieux de mémoire contemporains, ceux notamment de la révolte et du désespoir. Nous avons poursuivi à Záppion, Anafiótika, Monastiráki, Psyrí, Exárchia, l’École Polytechnique avant de regagner la place Sýntagma.
Panagiótis nous révélait partout dans tous ces endroits visités, leur histoire et leurs anecdotes. Au coin d’un immeuble, il a sorti son appareil photo pour photographier des graffitis et des encarts publicitaires, qui sont non seulement un élément marqueur de son blog Greek Crisis, mais autant, une évocation constante, quant à l’obéissance ou pas, au pouvoir politique actuel.
Panagiótis a mis tout le temps nécessaire pour faire la lumière sur le contexte de la crise grecque, et il a su répondre à toutes nos questions et interrogations. Nous serions très heureux de reprendre le chemin avec lui, et, espérons-le, en étant si possible plus optimistes pour ce qui est de l’avenir.
Roland Lüthi (Zurich, Suisse)